La petite histoire (restons modeste) de Boudu-la-fouffe

Chapitre premier : de Touco-le-malin à Bouc-le-chanceux

D’aucun disent qu’à l’origine était le verbe. Que nenni uhuh. A l’origine était le Touco !

C’est par un beau matin d’été qu’est né en forêt d’amakna ce magnifique éniripsa rouge orangé. Bon personne n’a exactement le détail de sa filiation, ni ne sait trop bien comment il est arrivé là. D’ailleurs autant prévenir tout de suite le lecteur un peu tatillon : son histoire et celles de ses descendants ne vont pas briller par leur précision !

Bref il est né rouge orangé quoi, ça pète comme début ça non ?

Tout de suite et d’entrée de jeu il a voulu être le meilleur : un maître du combat et un grand artisan es-baguette. Malheureusement, tout de suite et d’entrée de jeu, il a compris que cela n’allait pas être possible uhuh.

Pour le combat, difficile avec sa petite baguette de défier seul les créatures les plus dangereuses de la création (ni même d’ailleurs les moyens dangereuses^^). Pour l’artisanat pas mieux : impossible de rivaliser avec d’entrée des supermarchés de la baguette tels Quartz ou Amroth.

Qu’à cela ne tienne, notre fier éni ne s’est pas découragé, continuant de mener son petit train de vie, faisant ça et là des connaissances sympathiques en compagnie de sa fidèle Chat-pitre, xelorette de son état, prompte au pétage de plomb et à s’en prendre à ses propres partenaires de combat pour un oui ou pour un non !

Ainsi de la fois où un sram tout bleu relativement connu et ayant viré démon après avoir atteint un certain degré d’expérience s’est mis en tête de faire une hécatombe sur « les » araknes de « nos deux héros ». Pas partageur pour un sous le cochon en plus. Du coup, ni une, ni deux, pas le temps de freiner la chat-pitre que les voilà croisant le fer avec l’odieux personnage. Résultat : une belle taule et un premier ennemi juré à terrasser…dès que possible !

Après ces folles joutes, rien de tel que de faire un peu de commerce. C’est ainsi notamment qu’en tant que tailleur de baguette des plus honorables, le jeune Touco va faire la rencontre d’un certain Rukor fournisseur de bois de qualité. De même va-t-il refourguer une de ses premières armes à une jeune féca, blonde comme une bonne bière, du nom de Parhys. (faut être blonde pour prendre une baguette quand on est féca quand même uhuh)

Touco va nouer une vraie relation amicale avec cette jeune Féca insouciante, en prenant soin de faire gaffe à la jalousie maladive de Chat-pitre, toujours prête à occire sans sommation la moindre femelle approchant de « son éni ».

Sans le savoir à cet instant, les rouages mystérieux du destin étaient alors déjà en train de se mettre lentement en place…

Les jours vont passés, Touco-le-malin va vivre sa vie, tentant de se distinguer non par ses faits d’armes, mais en utilisant son agilité d’esprit et sa grande imagination. Ainsi va-t-il tenter de monter la première troupe de danse collective d’amakna : bide retentissant uhuh, écoutez on entend encore l’écho !

Plus sérieusement notre éni va quand même s’aguerrir un peu au point d’envisager de nouvelles aventures plus folles les unes que les autres, et notamment, deuxième tournant de son histoire, tenter de prendre d’assaut le château de l’infâme Wa Wabbit.

Pinaise que d’émotion déjà d’arriver jusqu’à l’entrée de ce lieu alors culte.

Heureusement fort de sa condition d’éni, aucune difficulté à se faire accepter dans une équipe de brutes, enfin pour l’époque uhuh. Qu’ils tapaient fort les OvezAllen, Niz et autres Xael !

Oh bien sur, il faudra plusieurs tentatives pour que notre sympathique héros parvienne à terrasser le tyran, après maints coups du sorts mais aussi de fourberies de certains, dont les noms restent à jamais graver dans sa mémoire (enfin il dit ça mais à part Xena il se rappelle plus trop les noms en réalité :p).

Toujours est-il que c’est à l’occasion d’un de ses périples dans la contrée wabbit que le Touco rencontre pour la première fois, un truc incroyable, énorme, surnaturel : une énutrofette qui…se bat, non ? Si ! Son nom…euh Doudi je crois.

Bref l’idée germe dans son esprit agile : « voilà ce qu’il me faut ! Un chtiot père énu capable de se battre à ma place le cas échéant, et puis accessoirement qui me fournira du bois pour mes baguettes ! »

Bouc-le-Chanceux était né…Touco-le-malin quasi mort…

(à suivre...^^)

Continu Boubou, continu je trouve ca genial !!



t'es un véritable de l'histoire mon tit vioque, au même titre que kokette d'ailleurs

Moi aussi j'veux la suite !!!!
*applaudit l'orateur*

Super debut


Vivement la suite

Le plus drole c'est que je connaissais ton eni et que je ne savais pas que c'était toi!

j'adore ta facon de raconter, LA SUITE LA SUITE!!!!

Chapitre deuxième : Bouc-le-chanceux où la naissance d'une dynastie de vieux beau

Ainsi donc voilà Touco-le-malin décidé à trouver la perle rare : un homme de main dur au mal et habile au combat. Et comme dans un conte de fée (ba oui c'est un éniripsa quand même on ne se refait pas), voilà que la perle apparait, et quelle perle : Bouc-le-chanceux !

Encore une fois on ignore tout des conditions exactes de la venue au monde de ce noble énutrof. Alors évidemment étant tout de blanc vétu, une vilaine rumeur est venue d'emblée courir selon laquelle Bouc serait tout droit échappé d'un hospice voisin.

Médisances de pisses froid ! Bouc est d'une espèce rare, celle des énutrofs intelligents et vifs d'esprit, tout le contraire d'un gateux donc.

Et puisque nous balayons les fausses rumeurs ayant pu courir à son sujet, précisons également que son nom n'a jamais rien eu à voir avec un quelconque problème d'haleine comme certains esprits jaloux ont parfois pu le penser. Non pas, si le Bouc s'appelle Bouc c'est tout simplement en l'honneur de sa magnifique barbiche bleu métal du plus belle effet, non mais.

Bref en deux mots comme en cent, Bouc est né beau et intelligent uhuh !

Comme annoncé, Bouc-le-chanceux très rapidement va se mettre au service du jeune Touco, l'un fournissant le bois, l'autre enchainant tel un dément les baguettes de boisaille dans l'espoir fou de pouvoir un jour créer des armes dignes de ce nom, uhuh opiniâtre le Touco.

Au fil de ces tournées de bucheron le Bouc va cependant commencer à s'émanciper, trainant de-ci de-là à massacrer des sangliers, des prespics, etc, bref autant de bébètes assez inoffensives pour se laisser abattre facilement uhuh. N'oublions pas que notre homme est intelligent et qu'il est toujours plus facile de triompher par force que par son astuce.

Heureusement un jour, sa condition de faible combattant va changer radicalement, quand son esprit prompte à la réflexion lui fait découvrir qu'il est possible de faire des dégats fort intéressants à distance en balançant sur l'assaillant...des pièces ! Mazette, il fallait y penser !

Cette ingénieuse trouvaille va en plus permettre à Bouc de mettre en avant une autre de ses grandes qualités : la générosité ! Car autant vous dire de suite que des pièces il va en distribuer le Bouc, oula oui, en veux-tu en voilà, et la banque centrale n’a qu’à bien se tenir uhuh.

Pour peu qu’à ce stade de l’histoire le lecteur ne soit pas totalement en train de roupiller, il se demandera sans doute « c’est bien joli de balancer comme ça l’argent par la fenêtre, mais où donc qu’il pouvait bien les sortir tous ces picaillons le vieux ? ». La réponse à cette excellente question renvoie directement aux origines énutrofettes de notre héros.

Car en plus d’être intelligent, et beau, et modeste, le Bouc est un fieffé chanceux comme son nom le laisse d’ailleurs très finement deviner^^. Ainsi au gré de ses combats, souvent engagés avec une Chat-pitre encore plus violente du fait de la frustration de ne plus avoir son Touco à portée de bandelettes, le Bouc va amasser un nombre considérable d’objets en tous genres : ressources rares, maîtrises, armes en tout genre, et plus si affinité !

Bref, c’est tout simplement en vendant sans relâche ces nombreux trésors trouvés de fouffe de maître, que Bouc va se constituer un petit pécule largement suffisant pour continuer à faire ses petites distributions de pièces gratuites, et par là même à engranger un patrimoine de jour en jour plus conséquent.

Son histoire, et celle de Touco et de leur entourage, aurait très bien pu continuer paisiblement de la sorte. Une espèce de remake d’Amour, Gloire et Beauté mais adaptée à la sauce amaknéenne genre : Baguettes, Bois et Prospérité uhuh.

Et bien non, trop facile ça. Le destin du Bouc va en effet s’assombrir coup sur coup : pif paf. D’abord par un prompt hasard il va rencontrer au détour d’un couloir le sombre Senor. Et puis surtout il va être victime d’un séisme d’une amplitude encore jamais atteinte qui, frappant amakna de plein fouet, va bouleverser les éléments ^^.

Mais de tout cela il ne sera question que dans les chapitres suivants…

(A suivre donc…)

suivant boubou suivant !!!!!!!!!!!!!!

quel nenutrof ce bouque, cey a cause de lui tous ces crash boursiers, c'est qu'il crée l'inflation le bougre ><

Chapitre troisième : de la rencontre avec Senor et son slip

Un jour, par un matin ensoleillé, au détour de la place de la fontaine, touché une nouvelle fois par la Sainte Fouffe, Bouc-le-chanceux découvre, exposés sans artifice sur le présentoir d’une marchande, deux magnifiques cuirs de dragon cochon.

Son sang ne fait qu’un tour : « Uh uh de coué me confectionner de magnifiques bottes de Celery Thé, j’achète !! ». Et sitôt dit, sitôt fait, voilà le Bouc dépouillé de sa fortune à la recherche du dernier ingrédient indispensable à la confection des bottes de ses rêves : un slip de capitaine chafer !

Difficile de convaincre beaucoup d’aventuriers de le suivre dans le repère hostile et sombre du dangereux officier, surtout pour ramener un sous-vêtement usager uhuh ! Au final, seule la toujours vaillante et téméraire Chat-pitre accepte de l’accompagner dans le labyrinthe de la forêt sombre d’amakna.

Les voilà donc face à l’infâme, l’horrible monstre refoulant l’os. Mais nos deux héros hésitent. C’est qu’il n’est pas seul le vilain et eux ne sont que deux combattants encore modestes. Rien à faire, il leur faut du renfort.

« Eh ! Pourquoi ne pas demander à la taupe cachée dans l’herbe là-bas ? » Propose Chat-pitre.
« Gné ? Où donc tu vois une taupe toué ? Le ti truc qui bouge là-bas ? Mais c’est po une taupe, on dirait plutôt un sale nain uhuh. »
...

« C’est moi que tu traites de sale nain, sale vieux ? » Senor le xelor venait de faire son entrée dans le destin de la dynastie Boudesque.

Ces présentations cordiales effectuées, ledit Senor se joint à nos deux aventuriers et terrasse presque à lui seul le vilain capitaine Chafer et ses acolytes, sans toutefois parvenir à lui arracher son slip en dentelle.

Déçu mais n’écoutant que son courage, Bouc, en dépit de l’air menaçant du ténébreux xelor et du caractère pour le moins récent de leur relation encore platonique, lui pose alors la question fatidique qui à jamais va sceller leur destin commun : « dis t’aurais po un slip en stock à me filer des foués ? »

Evidemment, la providence faisant bien les choses, la réponse du nain est positive. Et hop ! ni une, ni deux, ne prenant pas même le temps de discuter du prix, voilà Senor qui refile son slip à un Bouc frémissant d’émotion et ne se sentant plus de joie.

Bon que le lecteur n’aille pas trop vite se faire d’illusions sur le désintéressement et la grandeur d’âme du sieur Senor, il s’agit d’un nain tout de même. Bref, le slip n’était pas gratuit mais plutôt payable à crédit par virement de sacoche à sacoche. La monnaie de la transaction ? Epines et champignons de champ champ !

De ce jour, Bouc-le-chanceux va être fréquemment en relation avec Senor, ce dernier veillant scrupuleusement à ce que sa créance lui soit réglée rubis sur l’ongle (c’est qu’un sale nain on vous dit^^). Ceci étant le Bouc ne s’en formalise pas, bien au contraire. Il trouve dans cette petite présence ponctuelle quelques réconforts suite à la disparition quasi-concomitante de sa fidèle Chat-pitre dans des circonstances encore inexpliquées à ce jour.

Avant de clore ce chapitre et pour en revenir à notre histoire de slip, laquelle, à n’en pas douter intéresse au plus au point notre fidèle lecteur, celui-ci (le slip pas le lecteur^^) va finalement bien finir en bottes sous les doigts délicats et agiles de Bobspirit, la référence en cordonnerie de l’époque.

Que d’émotion là encore dans l’attente de l’issue de cette opération risquée. Et que d’émotions encore quand, à l’instant même où les bottes de ses rêves lui sont remises, le vieux Bouc est sauvagement agressé par deux démons coutumiers du fait…

Heureusement notre énutrof est toujours aussi fort de la soupière. Afin d’éviter de se voir dérober son bien par ces félons il a le réflexe d’enfiler immédiatement ses bottes ! La défaite est cuisante certes, mais le principal est préservé : les celery thé sont à ses pieds !

Elles lui seront d'une utilité certaine pour la suite de ses aventures...

(A suivre encore et encore pfff ça n'en finit pas…)

Apparemment personne ne souhaite connaître la suite...

Hummm..ça c'est à cause de l'apparition du nain, je le savais qui me ferait baisser l'audimat ce cochon.

Tain comment i fait sa starllette le vioc :p

bien sur qu'on veut la suite et fissa le vioc

Oui oui ze veux moi!!!!

La suittttteeeeeeuuuuhhhhhh

Chapitre quatrième : quand les Dieux s’en mêlent

Affublé de ces nouvelles bottes, le sieur Bouc ne se lasse plus de parcourir les contrées mêmes les plus reculées d’amakna, coupant ça et la de nouveaux arbres, cherchant de ci de là quelques nouveaux objets plus performants encore.

Mais, à l’image des jambes de son ami Senor, la durée de ce bonheur éphémère va s’avérer bien courte uh uh.

Un jour sans que rien ne le laisse réellement présager, un séisme d’une amplitude encore jamais atteinte va secouer le royaume d’amakna. A peine le temps de courir se mettre à l’abri dans la taverne la plus proche que d’un coup les Dieux déchaînés se mettent à bouleverser les éléments.

Quelques bibines sirotées plus tard, et une fois l’orage passé, le vieux Bouc doit se rendre à l’évidence : sa vie ne serait plus jamais comme avant.

Ses bonnes vieilles pièces lancées avec intelligence sont de l’histoire ancienne. Toute repose maintenant sur la chance. Certes Bouc n’en est pas dépourvu mais néanmoins ce changement le laisse profondément perplexe.

Après une mure réflexion et une sudation du couvercle sans précédent lui coûtant un houde tout neuf, sa décision est prise. Il doit penser à sa relève et préparer l’avenir le plus favorable possible à son futur rejeton : Boudu !

Alors que dans le même temps d’autres, moins inspirés, succomberont aux victoires faciles promises par de nouvelles armes telle la mechba ou les ergo mina, Bouc, tel Gepeto sculptant avec amour et application son petit Pinocchio, va patiemment collecter la nourriture nécessaire à la meilleur croissance possible de son rejeton.

Araknes, sangliers, gelées, larves et consorts, vont alors connaître de sombres jours sous les assauts répétés de notre énu national. Sans relâche, petit à petit, les ressources vont s’accumuler en quantité suffisante pour subvenir aux besoins nutritionnels du jeune Boudu.

Puis, c’est le grand jour, Boudu fils de Bouc-le-Chanceux, fait ses premiers pas dans les rues bigarrés de la ville d’Amakna, laissant bouches bées nombres de jeunes damoiselle par son aura naturelle et l'élégance de sa silhouette.

Grâce à l’excellente récolte du vieux Bouc, Boudu, portant comme il se doit une magnifique barbe rousse du plus bel effet, va très vite s’aguerrir et acquérir de l’expérience.

Ce sera un énutrof plein d’audace et surtout de chance, caractéristique très finement mis en exergue par son nom : Boudu-la-Fouffe !

(A suivre comme d’hab…)

Chic la suite tant attendu


Vivement le prochaine épisode

Rhaaaaa pas la patience d'attendre moi! ze le veux tout de suite!!!!!

J'adore ^^
Allez au boulot Boudu, on veut la suite !!
Trop bon ^^

Pere-Dodu

Chapitre cinquième : premier contact avec les Hossals


A l’inverse de ses glorieux ascendants, Boudu ne va guère être attiré par les joies des métiers de collecte et de craft. Non, lui, ce qu’il aime, c’est castagner !

Pendant que Touco peaufine la lutherie précieuse de ses baguettes, que Bouc se recycle dans la déforestation à grande échelle, la cueillette de fleurs, et la récolte de minerais en tous genres, le jeune Boudu va donc s’efforcer de parfaire son art du combat. Et quoi de mieux pour se faire qu’un sparing partner de luxe : Senor bien sur !

Ainsi après le cataclysme des éléments, tout redevenait pour le mieux dans le meilleur des mondes amaknaéens.

Puis vient le temps des Guildes.

Boudu et sa clique, en dépit de leur caractère particulièrement affable et de leur facilité incontestable à être appréciés de tous (ou presque), n’y prêtent d’abord que peu d’attention. On est de nature solitaire dans la famille.

D’ailleurs, la jeune Parhys (mais si rappelle toi oisif lecteur, la jeune féca blonde du début qui achetait les baguettes du Touco) avait déjà en son temps plus ou moins proposé au vieux Bouc de rejoindre un ambitieux projets de professionnels du craft et de la récolte : Les Mains Créatrices. Mais Bouc avait préféré rester freeland uhuh.

Là, revoilà Parhys bien décidée à trouver un Guildalogemme, pierre magique aux effets mystérieux seule capable d’unir sous la même bannière les différents membres d’une guilde.

En quête du précieux sésame, elle croise notre Boudu et lui fait part de ses recherches infructueuses qui durent pourtant depuis plus d’une journée maintenant. « Qu’à cela ne tienne promet Boudu, si j’en choppe une elle est pour toué ! ».

Et presque sitôt dit, presque sitôt fait !

Quelques minutes plus tard la Sainte Fouffe va en effet à nouveau opérer.

Dépeçant un groupe de scarafeuilles morts encore tièdes, voilà Boudu qui dégote un très joli Guildalogemme et le remet dans l’instant, pour une somme (presque^^) modique à la jeune Parhys folle de joie.

Fidèle lecteur tu as tenu jusqu’ici et je t’en félicite, car j’ai bien conscience que cela n’a pas dû être toujours facile, surtout les passages où ça cause du nain.

Ceci étant sagace que tu es, tu ne vas pas le regretter.

Car oui, cette petite pierre trouvée par l’incroyable Boudu n’est autre que celle sur laquelle va être bâtie l’une des plus sympathiques guildes de tous le temps, oui parfaitement rien de moins, j’ai nommé la guilde des Gardiens d’Hôssal !

Bien évidemment inutile de préciser qu’à cet instant Boudu lui-même ignore l’impact de son geste, si ce n’est sur sa bourse qui se trouve augmentée d’une petite somme fort sympathique ma foi uhuh.

Parhys lui parle bien de rejoindre éventuellement ces fameux Gardiens d’Hôssal inconnus du bataillon, mais non, ça ne l’intéresse pas. Du moins pas pour l’instant.

C’est qu’il ne sait pas encore que parmi ces Gardiens se trouve une autre pierre encore plus précieuse à dropper : une charmante sramette du nom de Ciel…


(…à suivre…)

bah voila .... Chui trop con .... j'aurai pas du " jeter un Zyeux au fofo avan de pieuter "

regardez l'heur :p il est 5 heur du mat y a 30 minute j ai commencé a lire ton histoir j'ai pas décroché et j'aurai tenu un bon moment s'il y avais la suite

Traduction : boubouuuuuuuuuuuu la suite et que ca saute !

pasque justement on arrive a la plus interressante des parti !

Comment ta fait pour séduire ciel , c'est vrai quoi , y'a un truc , un vieux roux qui pue des pied ( vivement les sandales )avec une magnifique femme comme ca !

S'pece de jalou faf


Vivement la suite Boubou

C'EST CLAIR DONNEZ L'ASTUCE PAR ICI !!

C'est romantique j'suis sure!

Ou alors c'est lui qui joue ciel et il le cache depuis le début

Chapitre sixième : où tout prend forme

Voilà donc les Gardiens d’Hôssal constitués et Boudu qui continue son petit seno…euh petit bonhomme de chemin en free lance.

Ses talents de combattants s’affermissent, pendant que ces glorieux aïeuls, Touco et Bouc continuent qui de sculpter ses baguettes, qui de récolter à tout va.

Un jour, Parhys l’informe qu’elle et plusieurs Gardiens s’apprêtent à s’aventurer dans un endroit encore relativement sauvage à l’époque : le donjon bouftous ! Boudu ne met pas longtemps à dégotter une clé dans les entrailles encore fumante d’un jeune bouftou ayant eu le malheur de croiser sa route.

Il rejoint donc illico Parhys et sa troupe de rigolards.

Ici le lecteur aura à nouveau le bon goût de se montrer indulgent sur la description un peu hésitante des différents participants à cet épisode de l’histoire.

De mémoire de narrateur, il y avait donc au moins ce jour là, un sadida humaniste Gronyeuh, un éni sympathique Zapounet, Parhys la blonde féca bien sur, et là, parée de ses ravissants atours, une délicieuse sramette du nom de Ciel. Autant dire de suite que Boudu n’a d’yeux que pour la belle, ce qui explique également les difficultés de votre serviteur à se rappeler qui d’autre était présents ce jour là uhuh.

Boudu fait donc le donjon dans un état de grande fébrilité, ne prenant pas même la peine de dépecer ses victimes pour en extraire les précieuses ressources. D’ailleurs ce jour là, aucun de nos joyeux drilles ne tombera sur le moindre trésor.

Enfin, aucun, pas tout à fait. Boudu lui venait en effet de découvrir plus qu’un trésor… sa future moitié.

Quelques jours plus tard, Boudu est convié au mariage de Parhys et de Crashbang, un sram dynamique grand guerrier devant l’éternel. Là il découvre, les autres Gardiens d’Hôssal.

Il y a d’abord le chef de cette guilde, un iop dénommé Lothar au langage haut en couleur et aux manières grivoises. Il y aussi un drôle de couple fort mal assorti composé d’un sacrieur laid déguisé en superman du nom de Smallking et d’une douce et charmante féca tout de blanc vétue, Kelin. Il y a encore un jeune chaton dissipé mais apparemment propre, Aruak, et éni un peu grincheux mais marrant Krieger.

Et puis, bien sur, il y a…Ciel, la sramette à la beauté tranchante comme ses dagues. De nouveau Boudu est en pamoison devant la jeune personne.

Le mariage se passe admirablement, les mariés sont heureux, chaque invité y va de son petit présent. Puis, suivant une coutume apparemment établie chez les Gardiens on se retrouve à la taverne pour fêter l’évènement par de virils combats à la grecque ou tout le monde finis… nus !

Remis de cette mémorable soirée, notre Boudu croise quelques temps plus tard son ami Senor de retour parmi les vivants après un stage intensif de survie dans le labyrinthe de la forêt d’Amakna :

« Au fait sale vioc, je vais peut être rejoindre une guilde »
« Non déconne ? Ca existe une guilde assez folle pour recruter un sale nain psychopathe comme toué ? »
« Ouep, les Gardiens d’Hôssal qu'ils s’appellent même »
« Uh uh, tu plaisantes le nain ? Mais je les connais trop bien, c’est même moué qui leur ai filé le Guildalogemme ! »

S’en était trop pour Boudu : une relation de longue date avec Parhys, la trouvaille du Guildalogemme, la bonne entente évidente avec les différents Gardiens entrevus, son coup de foudre pour Ciel, et maintenant son sale nain préféré qui proposait de rejoindre cette guilde.

Tout concordait : il fallait rejoindre les Gardiens d’Hôssal….

(à suivre…)

Wéééé super los gardianos vite vite il faut raconter la suite (et ça rime : p)